On court dans tous les sens : travail, famille, obligations… et on relègue souvent notre santé au second plan. Pourtant, notre corps, lui, tente de nous alerter bien avant que les choses ne s’aggravent. Parfois subtilement. Parfois plus franchement. Jusqu’au jour où on ne peut plus ignorer les signaux.
J’ai vécu un AVC léger — un micro-AVC — et si je partage cette expérience, ce n’est pas pour inquiéter, mais pour sensibiliser. Parce qu’en apprenant à repérer les signes avant-coureurs, on peut agir à temps.
Mais d’abord, qu’est-ce qu’un AVC ?
Un accident vasculaire cérébral (AVC), c’est lorsque la circulation sanguine est interrompue dans une partie du cerveau. Privées d’oxygène, les cellules cérébrales commencent à mourir. Les conséquences peuvent être sévères : troubles de la parole, perte de mémoire, paralysie… La cause la plus fréquente est la thrombose : un caillot qui bloque un vaisseau. Cela peut être favorisé par une mauvaise hygiène de vie, la sédentarité, certains traitements hormonaux ou tout simplement le vieillissement vasculaire.
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