
Quand une aide-soignante change le destin d’une orpheline
Jeanne s’éteignit paisiblement un printemps. Aux funérailles, Claire tenait ce même mouchoir brodé dans ses mains. Son hommage fut simple, mais bouleversant :
« Elle n’était pas médecin. Mais elle a guéri plus de cœurs que n’importe qui. Parce qu’elle offre ce que la médecine oublie parfois : l’espoir. »
Depuis, à l’entrée du service pédiatrique, une plaque porte son nom :
« Chambre Jeanne Martin – en hommage à celle qui redonne vie aux cœurs. »
Car il suffit parfois d’une seule personne pour changer le cours d’une vie.