L’appel de détresse désespéré du pilote d’Air India quelques instants avant le crash de l’avion

Les victimes venaient de plusieurs pays : une majorité de ressortissants indiens, mais aussi des Britanniques, des Canadiens et des Portugais. Parmi les noms révélés, on retrouve la famille Nanabawa de Gloucester, un couple exerçant dans le secteur du bien-être, ou encore Raxa Modha et son petit-fils de deux ans. Ces visages et ces histoires incarnent une douleur partagée. À Gloucester, la communauté musulmane a exprimé sa peine sur les réseaux sociaux, tandis qu’à Wellingborough, le maire a rendu hommage aux disparus avec émotion.

Une enquête de grande envergure pour comprendre l’incompréhensible

Les causes exactes du drame restent à déterminer. Les boîtes noires ont été récupérées et sont actuellement analysées par les autorités aériennes. Ce crash est non seulement le plus meurtrier survenu en Inde depuis près de trente ans, mais aussi le premier impliquant un Boeing 787 dans un tel contexte. Des questions se posent sur l’état de l’appareil, qui avait récemment effectué des vols vers l’Australie. Des experts techniques et des enquêteurs internationaux sont mobilisés pour faire toute la lumière sur ce qui s’est produit. Ce que l’on sait à date, c’est que le commandant a émi un appel de détresse : « Mayday… pas de poussée, perte de puissance, impossible de décoller ».

Quand la technique flanche, l’émotion prend le relais

Au-delà des chiffres et des analyses, ce crash laisse un vide immense. L’émotion est très vive, les hommages se multiplient. Dans les aéroports, sur les réseaux sociaux, dans les mosquées et les églisesdes bougies sont alluméesdes larmes coulentdes silences s’installent. Chaque nom lu à la télévision est une vie briséeune famille endeuilléeun projet interrompu.

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