Ils repartirent frustrés, en marmonnant que le vieux Marcel devait être complice, ou que le fils leur avait fait une mauvaise farce.
Une semaine plus tard, Marcel reçut une seconde lettre de Paul :
« Cher papa,
Je sais que tu as dû te poser beaucoup de questions. J’espère que le champ est bien retourné maintenant !
C’était la seule manière que j’ai trouvée pour t’aider depuis ma cellule…
Bonne saison de pommes de terre !
Ton fils malin,
Paul. »
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