Contrairement aux ARNm classiques, injectés en grande quantité pour être traduits en protéine Spike dans la cellule, les nouveaux vaccins en développement utilisent des ARNm capables de s’auto-répliquer dans l’organisme grâce à l’ajout d’un complexe enzymatique (réplicase) issu d’autres virus (alphavirus ou flavivirus). Résultat : le corps devient une véritable « photocopieuse » à ARN messager, produisant en continu la protéine cible (comme la Spike), mais aussi la réplicase, sans contrôle précis sur la quantité ni la durée.
« C’est la pire de toutes les technologies vaccinales, la plus dangereuse », tranche Sabatier, pointant le risque de production incontrôlée de protéines virales et d’enzymes dans l’organisme.
Les vaccins trans-amplifiants, eux, utilisent deux ARNm séparés : l’un pour la réplicase, l’autre pour l’antigène ciblé. Ces systèmes promettent une flexibilité redoutable, permettant de changer facilement la cible antigénique.
Graphène, nanoparticules et activation externe
Parmi les innovations controversées figure l’utilisation de points quantiques de graphène comme support pour l’ARN messager, remplaçant les nanoparticules lipidiques classiques. Selon Sabatier, ce graphène, hautement chargé positivement, permet de vectoriser efficacement l’ARNm mais présenteait un risque supplémentaire : il pourrait, selon lui, être activé à distance par ultrasons, lumière ou champs magnétiques (5G, etc.), ouvrant la porte à des dérives dignes de la science-fiction.
Absence de contrôle, effets secondaires massifs et questions éthiques
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