Entre 2020 et 2023, plus de 30 millions de décès en excès ont été enregistrés dans 125 pays, une situation alarmante. Les autorités ont initialement attribué ces chiffres alarmants à une seule cause évidente, mais une étude récente remet cette interprétation en question. Selon les auteurs de cette étude approfondie, les données ne justifient pas la théorie selon laquelle une maladie respiratoire virale à elle seule pourrait expliquer tous ces décès. Alors, quelle est la véritable cause de ces décès en excès ?
Analyse des données
Une étude rapportée en détail par Children’s Health Defense s’est penchée sur la surmortalité observée entre 2020 et 2023. Les chercheurs ont étudié le nombre de décès excédentaires, c’est-à-dire des décès survenant en plus du nombre attendu, et ont découvert qu’environ 31 millions de personnes, soit environ 1,1 % de la population étudiée, sont mortes prématurément. Cette étude a porté sur 35 % de la population mondiale, représentant environ 2,7 milliards de personnes.
Ce constat soulève des questions, car les auteurs de l’étude ont relevé plusieurs incohérences dans la théorie dominante. Par exemple, au lieu de voir une augmentation progressive des décès due à la propagation d’un virus, ils ont observé des pics massifs de décès, survenus immédiatement après que certains pays ont déclaré la pandémie et mis en place des mesures restrictives.
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